lundi 24 mars 2014

Quito

Nous atterrissons à Quito, tous les morceaux du vélo arrivent avec nous..
Santiago nous accueille dans sa maison à Tumbaco près de Quito, on peut remonter le vélo, configurer les sacoches, passer quelques heures dans la capitale, rattrapper le décalage horaire et s'acclimater à l´altitude.
Santiago nous prête beaucoup d´attention, nous donne des infos pour notre voyage, nous gardons le souvenir d´une famille chaleureuse qui se met au service des voyageurs à vélo.













Nous quittons Tumbaco en empruntant une improbable ligne de chemin de fer désaffectée,serpentant entre ravins et zones maraichères, pour rejoindre bientót la Panaméricaine qui nous mènera à El Quinche , haut lieu marial du pays.
 


Le 21Mars nous franchissons l equateur, quelle chance, c est le solstice de printemps, le soleil passe exactement á notre verticale á midi.Un petit observqtoire installé en bordure de route permet d observer le phénoméne.


Otavalo
Depuis El Quinche, nous passons Cayambe et ses cultures de roses, nous arrivons á Otavalo. Le lendemain est jour de marché. Dans le coin des bestiaux, nous hésitons entre veaux, vaches et cochons d Inde, ces derniers appelés ici cuy (prononcer ouille) sont un met recherché de la gastronomie locale.









Nous passons Ibarra, dégringolons de 1000 m pour atteindre la vallée du rio Chota, vallée peuplée d anciens esclaves qui ont trouvé la dans cette zone subtropicale les conditions pour reproduire le mode de vie de leurs ancetres d´Afrique.

Gens du voyage et étonnants voyageurs : c´est une famille argentine, elle sur un vélo, lui sur un autre, il tracte une remorque énorme encombrée de tout ce qu´ils possedent , sur des couvertures leurs 2 fillettes,une roue de la remorque s´est cassée et ils sont arretés sur le bas coté.Comment vivent ils ? commemt font ils dans les cotes ? et il y en a ...ils se dirigent vers la Colombie.




Camping a l´oasis oú nous avons été aimablement invités par la patronne rencontrée sur la route en travaux.



San Gabriel

Trés dure journée, il faut récupérer les 1000m perdus la veille.50 km avec une moyenne de 9 a l´heure donne une idée des pentes gravies:
A Bolivar, juste á l´instant oú le tandem se détournait vers le restaurant tant convoité pour le déjeuner, 3 cyclistes belges sollicités par le meme appel de l´estomac et descendant du Nord nous rejoignent dans le débit de papafritas.Ces trois lá, d´une compagnie plus qu´agréable s´emploient á faire un tour dans le monde, on peut les suivre sur leur blog :
www.biketomeetyou.be
ils sont adorables...

Nous sommes arrivés bien épuisés á San Gabriel, oú nous nous accorderons une journée de repos

(ps de la rédactrice : en español, il n´y a pas d´accents graves ni circonflexes donc je ne les ai point trouvés sur le clavier)

1 commentaire:

  1. Coucou les voyageurs !
    Nous espérons que le Pino et les pinoistes se portent bien.
    Grosses bises,
    Grégoire et Régine

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